Le blog de Le Lamer Jean Yves

Pour toi maman qui me manque

Pour toi partie trop tôt

J'aimerais tant que tu sois là

Tout près de moi

Toutes ces années tu m'as manquée

Mais je ne t'ai pas oubliée

Dans mon coeur tu es restée

Et tu le resteras toujours

Jusqu'à mon dernier jour

Vous qui avez encore votre maman

Protégez là et prenez soin d'elle

Car on en a qu'une pour la vie

Quand elle est partie

Quel vide on ressent

Jamais elle ne sera remplacée

Car la vie elle nous a donnée

Tout petits elle nous a bercés

Avec les années nous a nourris

Habillés, bichonnés, rassurés

Et aussi nous a consolés des petits bobos

Comme des gros chagrins

Alors pour toi maman

Maintenant que je suis grand

Toi qui me vois d'en haut

Avec tes yeux de l'amour

Et continue de veiller sur moi

Je te dis merci pour tout ce bonheur

distribué avec ton coeur

Merci maman je t'aime pour la vie

Bisous maman adorée

Les menhirs bigoudens

Comme la coiffe c'est certain

S'érigent vers le ciel

C'est la vérité officielle

Leur fière allure

Sous le ciel d'azur

Nous rappelle les temps anciens

Souvenir de nos ancêtres bigoudens

Pour quelles raisons sont-ils là

A quoi servaient-ils ici bas

De symboles phaliques

Ou d'autels empiriques

Et vous allées couvertes

Tel des passages souterrains

Menants vers le monde de demain

La question reste ouverte

Monuments de pierres

Cachés sous les fougères

Ressurgis du passé

Que de théories avancées

Saurons nous jamais

A quoi ils servaient

Prenons plaisir à les regarder

Et surtout il faut les protéger

Bonnes ballades en bigoudénie

Visitez notre beau pays

Pays de traditions ancestrales

Aux nombreuses chapelles paroissiales

J'ai deux amours

Ma bigoudène toujours

Et son pays la bigoudénie

Tous les deux mon séduits

 Par leurs beautés

Chacun de leur cotés

Ma bigoudène par son courage

Son pays par ses paysages

J'aime carresser son doux visage

J'aime regarder ses beaux rivages

Ils me donnent le bonheur

Ils font battre mon coeur

J'aime je suis  amoureux

N'est ce pas merveilleux

Pour la vie je suis épris

De mes deux amours oui oui oui

Belle bigoudène

Voici venir le mois de mai

Je t'offre ces brins de muguet

Vers toi le bonheur m'emmène

 Vers de belles ballades

Ensemble nous irons gambader

Tout au long des sentiers

Il suffit de ne pas rester en rade

Qu'importe si il y a du vent

Qui siffle par moments

Bras dessus bras dessous

Nous irons jusqu'au bout

Et sur le sable chaud

Nous prendrons du repos

Allongés cote à cote ma belle bigoudène

Nous profiterons de cette fin de semaine

Et nous retournerons à la maison

Attendre une nouvelles occasion

D'aller retrouver notre bigoudénie

Qui est tellement jolie.

Dans la forêt de Brocéliande se trouvent les hauts points de la magie de la table ronde. On y trouve la fontaine de jouvance où l'eau redonne la jeunesse, le tombeau de merlin ou il a été enfermé par Viviane, l'otier de Viviane, celui du géant, le val sans retour, la mare aux fée, l'arbre d'or et sa légende:

L'arbre d'or une fois par an donnait de jolies pommes en or qu'il ne fallait surtout pas cueillir, les korrigans eux venaient les ramasser le jour de la pleine lune. Donc un jour les parents d'henriette lui disent va dans la forêt ramasser du petit bois mort pour allumer le feu, mais surtout n'entre pas dans le val sans retour. La petite henriette ramasse donc du bois mort par-ci par-là et chemin faisant elle entre dans le val sans retour et au détour d'un sentier, elle découvre l'arbre d'or. C'est le moment des pommes d'or et de la pleine lune, elle s'approche de l'arbre et bien sur elle cueille une pomme se disant ( voilà qui fera du bien à la maison pour arrondir la fin du mois on manque tellement d'argent ) aussitôt elle se transforme en arbre pétrifié. Les parents ne voyant pas revenir leur petite disent aux deux grands frères d'aller la chercher, ils cherchent furetant partout et entre aussi dans le val sans retour. Ils finissent par arriver devant l'arbre d'or et l'étrange arbre pétrifié, ils ramassent chacun une pomme et se pétrifient aussitôt. Voilà minuit qui arrive les korrigans sortent de l'ombre et devant eux un spectable désolant, plus une pommes d'or l'arbre c'est transformé en or, à coté trois arbres calcinés. Ils s'approchent et étrangement tous les korrigans se retrouvent pétrifié en épées de pierre entourant l'arbre d'or pour le protéger de leurs pointes acérées. Et depuis c'est le spectacle que l'on découvre en arrivant devant.

Venez vite visiter la forêt de Brocéliande et ses vestiges d'un autre âge

vous repartirez enchantés.

Bonnes journées en perspective.

Nounours